Je connaissais le concept d’une heure sur piste, mais avant de découvrir celle organisée par le club, je ne m’imaginais pas participer à ce genre de course, je l’avoue !
Qu’est-ce qui t’a motivé à t’inscrire ?J’ai d’abord hésité, car cela se passait seulement 5 jours après le semi de Nantes auquel je participais. Puis, les collègues AaAliens (ndlr : surnom des adhérents du club AaAL) qui avaient participé les 2 années précédentes m’ont vendu l’ambiance de la course, et visiblement ils ont bien fait leur boulot car j’ai finalement cédé à la tentation de l’inscription !
Cheveux tressés par Clémence (détail indispensable pour une course réussie), temps au 400m repéré quelques minutes avant le départ et une montre avec une fonction “laps” bien pratique : quand l’heure du départ a sonné, il n’y avait “plus qu’à”. En fait, j’ai fait comme si chaque tour était une course à part entière avec l’objectif de temps que je m’étais fixé, puis il ne me restait plus qu’à recommencer le plus de fois possible. Bon, bien sûr, ça devient de plus en plus difficile au fur et à mesure, mais heureusement, les collègues n’avaient pas menti : l’ambiance est terrible ! Avoir des encouragements tous les 400m, entendre son prénom à chaque passage donne suffisamment d’adrénaline pour tenir jusqu’au suivant. Et puis il y a la batucada à mi-chemin pour un petit coup de boost supplémentaire. Les lumignons et un super panier garni pour couronner le tout, ça reste un très bon souvenir.
Au rendez-vous, ça c’est sûr, mais peut-être du côté des bénévoles cette fois-ci ? Il faut bien que ça tourne. Cela dit, certains font les deux en même temps, donc à voir !